Bonheur

Lorsqu'une porte du bonheur se ferme, une autre s'ouvre ; mais parfois on observe si longtemps celle qui est fermée qu'on ne voit pas celle qui vient de s'ouvrir à nous.

Les heureux du monde croient-ils que le malheureux doit périr devant eux avec la même grâce que la populace romaine exigeait des gladiateurs ?

L’homme le plus heureux est celui qui sait mettre en rapport la fin de sa vie avec le commencement.

Le seul bonheur que j'ai connu en ce monde est l'attente.

Le bonheur n'a jamais été le lot de ceux qui s'acharnent.

Le bonheur de l'homme n'est pas dans la liberté, mais dans l'acceptation d'un devoir.

Avec toi, je suis heureux même quand je suis malheureux. Sans toi, je suis malheureux même quand je suis heureux.

Parmi les heureux de la terre, ne considérez personne comme favorisé du sort avant qu'il ne soit mort.Euripide 

Le bonheur, ce n'est pas d'être aimé. Chaque être humain a de l'amour pour lui-même, et pourtant, ils sont des milliers à vivre une existence de damnée. Non, être aimé ne donne pas le bonheur. Mais aimer, ça c'est le bonheur !

La gratitude rend heureux parce qu'on en fait si rarement l'expérience tangible.

L'homme heureux est celui qui se retrouve avec plaisir au réveil, se reconnaît celui qu'il aime d'être.

Le bonheur n'est jamais trop grand ni trop beau. Il n'y a que les lâches qui s'en effraient.

Le bonheur ne peut être constant qu'autant qu'il est indépendant des hommes qui nous entourent et des lieux que nous habitons ; heureux et sages sont ceux qui le trouvent en eux-mêmes.

La santé et le bonheur sont le seul chantage des dieux...

Un homme heureux en ménage dégage toujours une sorte d'aura qui le rend encore plus séduisant auprès des autres femmes.

Rien ne rend plus heureux que de plaire à quelqu'un qui nous plaît. La réciprocité devrait être davantage estimée placée au sommet des joies humaines. Quand on fait une belle rencontre on redécouvre des trésors poussiéreux qui agonisaient en soi. On réveille ses désirs et ses passions.

Envier le bonheur d'autrui, c'est folie. On ne saurait pas s'en servir. Le bonheur ne se veut pas tout fait, mais sur mesure.

Le bonheur est comme un baiser. Vous devez le partager pour en profiter.

Le bonheur ne coûte rien sauf le courage de l'affronter.

Chercher le bonheur en dehors de nous c'est comme attendre le soleil dans une grotte orientée au Nord.

Le bonheur ne se trouve ni dans l'effort ni dans la lutte acharnée, mais réside là, tout proche : dans la détente, dans l'abandon, dans la sérénité et dans la plénitude physique et morale.

Le bonheur... il se suffit à lui-même, il se contente de briller. Seuls le manque, le malheur nous mettent en mouvement.

Être heureux, ce n'est pas vivre dans certaines conditions, c'est cultiver certaines attitudes.

Etre heureux, c'est avoir dépassé l'inquiétude du bonheur.

Le bonheur est fait de bribes éparses, ce n'est pas un flux continu, mais une répartition aléatoire de moments heureux. À nous de les vivre avec abandon en sachant que ce sont des instants de grâce.

Le bonheur ne se partage pas : on le vit ou on l'envie. Seul le malheur fait la communion des hommes.

Etre heureux, ce devrait être un devoir, en même temps qu'une vertu, une récompense. C'est plus difficile qu'on ne le croit.

Le bonheur se faufile souvent par une porte qu'on ignorait avoir laissée ouverte.

Le bonheur ne se décrète pas, ne se convoque pas, mais se cultive et se construit peu à peu dans la durée. Le bonheur est une manière d'être, or les manières s'apprennent.

Si tu veux vivre heureux, respecte les opinions et les traditions du pays où tu vis

Le vrai bonheur s'installe, en premier lieu, dans la jouissance de son être et dans son prochain ; dans l'amitié et la conversation avec quelques compagnons choisis.

Je suis heureux et rien n'en est la cause.

Le bonheur n'est pas quelque chose qui nous arrive, mais une compétence que nous développons.

Le bonheur le plus grand est la personnalité.

Le bonheur ne va pas sans le plaisir.

Les éléments du bonheur sont simples, et ils sont gratuits, pour l'essentiel. Ceux qui ne sont pas gratuits finissent par donner une telle somme de bonheurs différents qu'au bout du compte ils peuvent être considérés comme gratuits.

L'obligation d'être heureux ne fait que compliquer la vie.

On appelle bonheur un concours de circonstances qui permette la joie. Mais on appelle joie cet état de l'être qui n'a besoin de rien pour se sentir heureux.

Le bonheur ne se cherche pas, il est une récompense à ceux qui ne l'on pas cherché.

Le bonheur n'est pas le sourire que tu affiches quand tu es face aux autres, mais celui qui te reste dans le coeur quand tu es face à toi-même.

Le bonheur de demain n'existe pas. Le bonheur, c'est tout de suite ou jamais. Ce n'est pas réfléchir, dorer, organiser, capitonner la vie, mais savoir la goûter à tout instant.

Le bonheur est un délicat équilibre entre la banque et le lit.

Le souvenir du bonheur n´est plus du bonheur, le souvenir de la douleur est de la douleur encore.

On n'est jamais heureux qu'au prix de quelques illusions et beaucoup d'ignorance.

Le bonheur a toujours une cause, on est heureux de quelque chose, c'est un sentiment dont l'existence dépend de l'extérieur. La joie, elle, est sans objet. Elle te possède sans aucune raison apparente, dans son être elle ressemble au soleil, elle brûle grâce à la combustion de son propre coeur.

Heureux qui a quelque chose à donner, car à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. Heureux qui est dépouillé injustement, car il n'a plus à craindre de la justice.

Le bonheur sur terre ça serait de mourir avec plaisir, dans du plaisir... Le reste c'est rien du tout, c'est de la peur qu'on n'ose pas avouer, c'est de l'art.

Le bonheur, cette provocation.

Le bonheur étant dans l'étonnement, pourquoi faut-il que nous passions notre temps à faire comme s'il ne fallait s'étonner de rien ?

Les gens heureux sont ceux qui privilégient l'essentiel par rapport à l'accessoire, l'être à l'avoir, l'utile à l'agréable, le durable à l'éphémère, le suffisant au trop, le nécessaire au superflu, en fait les besoins aux désirs.

Les gens heureux ont une tendance à préférer les accomplissements de performance aux accomplissements de finalité. Le plaisir en est peut-être plus durable.

Après le bonheur de commander aux hommes, le plus grand honneur, Monsieur, n'est-il pas de les juger ?

Est-ce que bonheur et malheur peuvent exister en dehors de la danse ?

L'expérience du bonheur est une chose épouvantable. Elle apprend que la vie ne pèse pas.

Le bonheur est un exercice solitaire.

Un ménage heureux est celui où chacun des deux admet, même s'il ne le croit pas, que l'autre puisse avoir raison.

Le bonheur de lire est tellement imprévisible qu'un lecteur exercé s'en étonne lui-même.

Tout bonheur est poésie essentiellement, et poésie veut dire action ; l'on n'aime guère un bonheur qui vous tombe ; on veut l'avoir fait. Imaginez-vous un collectionneur qui n'aurait pas fait sa collection ?

Le bonheur suppose sans doute toujours quelque inquiétude, quelque passion, une pointe de douleur qui nous éveille à nous-même.

Il n'y a pas de bonheur dans la haine.

Heureux ceux qui cultivent des rêves. Mais, les rêves exigent des sacrifices et peu de rêveurs survivent.

Qu'est-ce que le bonheur sinon le simple accord entre un être et l'existence qu'il mène ?

Les gens heureux n'ont pas le droit d'être optimistes : c'est une insulte au malheur.

Le bonheur que les autres vous croient ajoute à notre détresse de savoir que nous ne sommes pas heureux.

On n'est pas heureux : notre bonheur, c'est le silence du malheur.

Qu'importe le bonheur quand on n'a point la joie !

Les gens heureux n'ont pas de talent.

Tout bonheur est chose fragile, et ne doit être touché qu'avec la plus grande attention.

Le vrai bonheur, c'est ça : un visage inconnu, et comment la parole peu à peu l'éclaire, le fait devenir familier, proche, magnifique, pur.

Pour arriver au bonheur conjugal, il faut gravir une montagne dont l'étroit plateau est bien près d'un revers aussi rapide que glissant ...

Le bonheur conjugal ne se fonde pas tant sur des qualités brillantes et sur la fortune, que sur l'estime réciproque.

Le bonheur, ce n'est pas de croire que nous n'avons pas besoin de changer : c'est prendre conscience que nous pouvons le faire.

Le bonheur, c'est réaliser dans l'âge d'homme ses rêves de jeunesse.

Bonheur ou malheur sont l'expression de ce que nous sommes, non le résultat de ce que nous avons.

Atteindre le bonheur authentique exige de transformer à la fois le regard que l'on porte sur le monde et sa manière de penser.

Le bonheur n'est pas ailleurs, il est en soi.

Pour trouver le bonheur, il faut risquer le malheur. Si vous voulez être heureux, il ne faut pas chercher à fuir le malheur à tout prix. Il faut plutôt chercher comment - et grâce à qui- l'on pourra le surmonter.

Le bonheur est un oiseau qui se pose sur la paume de la main, pour le garder il ne faut pas essayer de le saisir.

Le bonheur est un parfum que l'on ne peut verser sur les autres sans en recevoir quelques gouttes.

Le bonheur de la vie est un fatal problème que pour résoudre il faut, son tour venu, savoir comme un hardi joueur, jeter tout son avoir, nom, honneur, avenir, sur la carte suprême.

Les gens les plus heureux ne sont pas nécessairement ceux qui ont le meilleur des choses, mais ceux qui profitent simplement de ce qu'ils ont.

Etre heureux ne signifie pas que tout est parfait. Cela signifie que vous avez décidé de regarder au-delà des imperfections.

Il faut être heureux de ne pas être malheureux.

Le savoir rend heureux, le savoir rend libre.

Le bonheur se fortifie du malheur des autres.

Le seul bonheur est de ne pas naître.

Le bonheur est une longue patience...

Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas.

Où résident le bonheur et la plénitude, si ce n'est dans les livres, la poésie et la connaissance ?

Le bonheur ne s'acquiert pas, il ne réside pas dans les apparences, chacun d'entre nous le construit à chaque instant de sa vie avec son cœur.

Le bonheur et le malheur sont à l'intérieur de nous. Le paradis et l'enfer n'existent qu'en nous.

Tout bonheur en ce monde vient de l'ouverture aux autres ; toute souffrance vient de l'enfermement en soi-même.

Le bonheur n'est pas chose aisée. Il est très difficile de le trouver en soi, il est impossible de le trouver ailleurs.

Un être heureux, il vit comme au-dessus de tous les autres (et les écrase un peu, bien entendu).

Le bonheur est une allégorie, le malheur est une histoire.

Le vrai bonheur ne cite pas ses sources... pour ne pas rendre le Bon Dieu jaloux.

On n'attend pas le bonheur, on ne court même pas après. On le fabrique, avec trois fois rien, ce qu'on a : un sourire, un mot, un élan, un vertige. C'est artisanal le bonheur, ça ne tient à rien et tout à coup, ça tient à toi.

Le bonheur est toujours à inventer avec les ressources du quotidien, avec les fleurs de l'imprévisible, avec les rires de l'inattendu et les plaisirs de l'étonnement.

Le bonheur est un état de l'âme, par conséquent il ne peut être durable : c'est un nom abstrait composé de quelques idées de plaisir.

Le bonheur est très rare, cela ne se trouve pas dans un soulier le matin de Noël.

Le bonheur tue l'imagination et les gens heureux ne peuvent connaître la puissance d'un songe que la seule misère nourrit.

On ne peut vivre heureux qu'auprès de ce qu'on aime.

Le bonheur se partage mais le désespoir est solitaire.

Le bonheur c'est l'absence, c'est d'être enfin absente à soi, rendue à toutes choses alentour.

Le bonheur se fait tout seul ou il ne vient pas. Non pas qu'il nous choisisse mais combien sont incapables de le reconnaître. Le bonheur repart et après il est trop tard, même rattrapé, il ne sera jamais plus tout à fait le même.

Le bonheur du voyage, c'est de faire tout pour la première fois.

Etre heureux, c'est se savoir beau dans le regard des autres.

Une drogue est au bonheur ce que la masturbation est à l'amour : une fermeture sur soi-même, nécessaire à certaines périodes, qui devient appauvrissante si elle coupe le contact avec le monde extérieur.

Le bonheur est une suite de petites joies, de niais contentements, de satisfactions imbéciles.

Le bonheur, c'est un regard, un mot, un sourire pour ceux qui s'aiment.

Le bonheur, c'est un regard, un mot, un sourire pour ceux qui s'aiment.

Le bonheur se nourrit de lui-même. On le donnant à quelqu'un, on se rend heureux soi-même.

Qui veut être heureux se hâte car nul n'est sûr du lendemain.